Octobre qui arrive et des envies de plus d’empathie
C’est un mot que l’on connaît bien, qu’on entend beaucoup, et nous avons eu envie de lui dédier notre newsletter de septembre.
Empathie — nom féminin (calque de l’allemand Einfühlung) : faculté intuitive de se mettre à la place d’autrui, de percevoir ce qu’il ressent.
Nous l’avons entendue l’autre jour, dans une émission : « L’empathie, ça peut s’apprendre. » Oui, comme les maths, comme les langues, comme la cuisine. Dans certains pays, elle est même enseignée à l’école, au même titre que lire, écrire, compter. Imaginez un peu : des générations entières à qui on apprend à se mettre dans la peau de l’autre, des générations entières qui reconnaissent comme légitime l’émotion d’un autre.
Et puis comme si cela ne suffisait pas, Canal + sort une série qui nous a happées ! Une claque, mais douce. Une exploration sensible, intelligente. L’empathie, pas une mièvrerie, pas un concept de bisounours, mais une force, une arme, une révolution silencieuse.
Alors voilà, cet automne, plutôt que d’empiler les bonnes résolutions ou de compter les feuilles mortes, on a eu envie de parler d’elle. L’empathie. De la regarder droit dans les yeux. Et peut‑être de l’apprendre ensemble — un peu comme une langue vivante, celle qui dit « je te vois, je t’entends, je te comprends ». Disruptif ? Peut‑être. Essentiel ? Plus que jamais.
La série Empathie sur Canal+ — de la douceur en épisodes. On ne vous en dit pas plus : c’est juste beau.
On va au cinéma voir Connemara. Un des derniers romans de Nicolas Mathieu, joliment adapté au cinéma. On a ri et on a pleuré.
Nous trouvons que l’automne porte ce petit quelque chose, comme un renouveau, qu’en pensez vous ?
Pour cette nouvelle saison, nous avons envie de rituels !
Beauté, make‑up, créativité, n’hésitez pas à trouver un moment qui vous ressemble, un rendez‑vous qui vous aide. C’est scientifiquement prouvé, les habitudes aident à la création.
On écoute la jolie reprise de « L’été indien » de Joe Dassin par Malik Djoudi. Une balade pour accompagner notre automne.
Soyez curieux, chez Santa Rosa, c’est un mot d’ordre dans notre manière d’exercer notre métier. Curieux des pratiques, des nouveautés, de vous. S’ouvrir aux autres reste notre plus belle manière de faire « waouh » dans une journée.
On ne loupe pas le concert de Léonie Pernet au Métronum
le 13 Novembre. Une poétesse sur mélodie, autrice, compositrice, interprète. On adore son univers ultra‑mélancolique.
On se plonge dans le bouquin “La maison vide” de
Laurent Mauvignier,
Un livre comme une enquête intime et une méditation sur la mémoire. Un livre sur l’effacement et la manière dont le passé familial continue d’éclairer le présent.
