Nicolaï

Nicolaï

En 1989, lors de la création de NICOLAÏ PARFUMEUR-CRÉATEUR, Patricia de Nicolaï et son mari Jean-Louis Michau, réussissent un pari très audacieux pour l’époque, celui de créer, signer et vendre ses propres parfums. Car l’ère n’était pas encore au parfum d’auteur, quand « être nez » restait majoritairement une affaire d’hommes.

Le crédo de la maison Nicolaï dès les premiers pas : ne faire que de la grande qualité et créer en toute liberté, loin des diktats du marketing, tout en gardant une écriture élégante et distinguée.

C’était déjà la philosophie de la famille Guerlain, dont Patricia descend directement par sa mère :  elle est l’arrière-petite fille de Pierre Guerlain qui a propulsé l’entreprise dans ses grands succès de la première partie du XXème siècle, avec son frère Jacques à la création.
Au fil des ans, une telle exigence a su convaincre le public avide de belles compositions puisqu’aujourd’hui, Nicolaï Parfumeur-Créateur figure parmi les fleurons de la parfumerie française indépendante exportée partout dans le monde.

Patricia est désormais assistée dans son travail de création par son fils Axel de Nicolaï – également directeur général de la marque en charge du développement -. Car chez les Nicolaï aussi, il est question de passion et de transmission.`

Une qualité exceptionnelle sélectionnée par un parfumeur maison

Ce qui semble anecdotique est pourtant ce qui fait la différence : la marque intègre et maîtrise le processus entier de création et de fabrication des produits, de l’achat des matières premières à la vente en boutique. Pour Patricia comme pour Axel, tout part de la matière première. Outre les synthétiques les plus innovants, ils choisissent parmi les meilleurs terroirs et traitements de naturels, sans se  laisser brider par des contraintes de prix. Ainsi, l’orgue de Patricia contient notamment du Patchouli d’Indonésie, du Oud Cambodgien ou de l’essence de Rose Turque. Soient autant d’ ingrédients uniques qui vibrent sur la peau et surprennent encore plusieurs heures après :  c’est aussi cela, la « patte » Nicolaï.